Maude Radelet © Privée

Maude Radelet, du TREC à l'endurance

Cet hiver, Maude Radelet a participé à son premier grand championnat d’endurance à l’occasion des Mondiaux de Boutheeb. Et, même si elle n’est pas allée au bout (lire n° d’avril) de la course, la progression de la cavalière de 31 ans impressionne. Issue du TREC, la Vaudoise basée près de Toulouse s’est reconvertie il y a cinq ans. À la fois critique et enthousiaste, Maude Radelet dépeint avec lucidité une discipline méconnue en Suisse – malgré neuf médailles en grand championnat ! – qui souffre d’une mauvaise image, mais qui mérite que l’on s’y intéresse et que l’on déconstruise les clichés. Aux côtés de sa coéquipière des Mondiaux Nina Lissarrague, Maude Radelet est le nouveau visage romand de l’endurance helvétique.

  • Maude, comment êtes-vous venue à l’endurance ? 
  • J’ai fait mon première TREC à 14 ans. C’est ma maman qui m’avait mis une carte dans les mains pour la première fois. En 2018, j’ai encore fait les Européens. Puis, j’ai rencontré mon compagnon Nicolas (Oreste, ndlr) qui était en équipe de France de TREC. J’ai emménagé chez lui, près de Toulouse, fin 2018. C’était un vrai changement de vie. Avant cela, je travaillais dans les assurances. Désormais, nous gérons une écurie d’entraînement. Nous avons une trentaine de chevaux au travail, ça occupe (rires) ! 
     
  • Un pari plutôt osé !
  • Quand j’ai une idée en tête, c’est dur de me la faire oublier! J’ai zéro regret. Avant de partir en France, j’ai travaillé trois mois en Islande dans une écurie de randonnées. C’était ma première expérience pro avec les chevaux et un moyen d’apprendre l’anglais « au forcing ». Je n’avais rien à perdre et ...

Retrouvez l'intégralité de cette interview dans le n° de juillet

 


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