A Lisbonne, à Drammen et à Poznan, début juillet,

A Lisbonne, à Drammen et à Poznan, début juillet, les cavaliers ont accepté de monter la seconde manche de la Coupe des Nations à trois, mais à Modène, par exemple, cette proposition a fait un tollé, obligeant Ulf Rosengreen, le directeur de la Coupe des Nations Samsung et les officiels de la FEI à faire machine arrière. Voyons tout d’abord de quoi il s’agit. Dans le souci de rendre leur épreuve plus rapide et rythmée, de renforcer aussi le suspens et le jeu d’équipe, le comité de la Coupe des Nations Samsung voulait supprimer le « quatrième cavalier » dans la seconde manche. Cela permettait aussi d’aligner huit équipes (au lieu de six) dans la seconde manche, ce qui évite assez souvent d’éliminer l’équipe-hôte ou un favori prématurément écarté et peut-être encore dans la course pour la victoire ou une place d’honneur. L’hebdomadaire « PferdeWoche », qui relaye souvent la pensée (unique ?) de Martin Walther, le chef de l’équipe suisse, attaque Ulf Rosengreen, ex-secrétaire de la Fédération suédoise et des Jeux Mondiaux de Stockholm, actuel directeur de la Coupe des Nations Samsung, avec véhémence, lui infligeant un « carton rouge » : « Pour autant d’entêtement et de volonté d’imposer la loi du sponsor dans le sport, il mérite notre désapprobation ». Sûr que l’incident survenu à l’équipe suisse à Poznan, rétrogradée à la 6e place à la suite de la chute et de l’élimination de Daniel Etter, n’aura pas adouci son appréciation !

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