Frühmann à Cannes, Chrzanowski au Mont, Silvia Iklé à Berne...
Avec son phénoménal "The Sixth Sense", le vétéran autrichien triomphe encore à Cannes. Mändli 13e.
Première étape européenne du tout nouveau Global Champions' Tour, le GP de Cannes a tenu en haleine le public samedi soir 10 juin. Trois couples s'étaient joués de deux manches hyper sélectives et Thomas Frühmann fut le seul sans faute jusqu'au bout.
En "The Sixth Sense", l'Autrichien dispose d'un extra-terrestre. Et, après Genève, Leipzig, Vigo et Dortmund, il a accroché un 5e Grand Prix. Nick Skelton aurait aussi pu réussir un pari fou en gagnant son troisième GP en vingt jours, après Rome et Lucerne, mais son génial "Arko III" accrocha l'antépénultième obstacle. 3e, le Français Hécart sur son petit "Itôt du Château" (157 cm).
Beat Mändli fit une toute petite faute dans chaque manche avec "Idéo du Thot", 13e. Même sort pour Rodrigo Pessoa et "Baloubet du Rouet", 15es. Philippe Putallaz n'a pour sa part pas à rougir des trois fautes du néophyte "Kolbeo des Cabanes" au premier tour, terriblement sélectif.
Victoire ou pas, c'est toujours un régal de voir un parcours de Beat Mändli, surtout en selle sur son bai français "Idéo du Thot", aussi fin et élégant que lui. Le vendredi soir , dans la grosse épreuve au programme à Cannes, le néo-Ukrainien Jean-Claude Vangeenberghe (Belge jusqu'à l'an passé...) a gagné avec son étalon "Trésor" devant Beat Mändli, 2e à une seconde. Il n'avait pas tout risqué, mais il n'en devançait pas moins Thomas Frühmann, 3e avec "The Sixth Sense" ou Jessica Kürten, victimes d'une faute en coupant trop. Philippe Putallaz était loin du compte avec "Kolbeo des Cabanes" (cinq fautes), mais cela n'effaçait pas sa belle performance de la veille.
"J'ai un crack, j'y crois et il m'épate. Maîtriser de tels parcours, dans une arène aussi petite et "regardante" que celle-ci, à huit ans, c'est exceptionnel", Philippe Putallaz, le Valaisan de Versoix (GE), a beau être un peu Marseillais sur les bords, on ne peut que souscrire à ses propos. Au barrage du Prix Jaeger-Lecoultre, le jeudi soir, il n'avait fait qu'une petite faute, sur un gros oxer, se classant 11e. Rodrigo Pessoa et "Baloubet du Rouet", plus extra-terrestres que jamais, avaient gagné devant un autre néo-Ukrainien, Gregory Wathelet, habilement coaché par Philippe Guerdat.
Première étape européenne du tout nouveau Global Champions' Tour, le GP de Cannes a tenu en haleine le public samedi soir 10 juin. Trois couples s'étaient joués de deux manches hyper sélectives et Thomas Frühmann fut le seul sans faute jusqu'au bout.
En "The Sixth Sense", l'Autrichien dispose d'un extra-terrestre. Et, après Genève, Leipzig, Vigo et Dortmund, il a accroché un 5e Grand Prix. Nick Skelton aurait aussi pu réussir un pari fou en gagnant son troisième GP en vingt jours, après Rome et Lucerne, mais son génial "Arko III" accrocha l'antépénultième obstacle. 3e, le Français Hécart sur son petit "Itôt du Château" (157 cm).
Beat Mändli fit une toute petite faute dans chaque manche avec "Idéo du Thot", 13e. Même sort pour Rodrigo Pessoa et "Baloubet du Rouet", 15es. Philippe Putallaz n'a pour sa part pas à rougir des trois fautes du néophyte "Kolbeo des Cabanes" au premier tour, terriblement sélectif.
Victoire ou pas, c'est toujours un régal de voir un parcours de Beat Mändli, surtout en selle sur son bai français "Idéo du Thot", aussi fin et élégant que lui. Le vendredi soir , dans la grosse épreuve au programme à Cannes, le néo-Ukrainien Jean-Claude Vangeenberghe (Belge jusqu'à l'an passé...) a gagné avec son étalon "Trésor" devant Beat Mändli, 2e à une seconde. Il n'avait pas tout risqué, mais il n'en devançait pas moins Thomas Frühmann, 3e avec "The Sixth Sense" ou Jessica Kürten, victimes d'une faute en coupant trop. Philippe Putallaz était loin du compte avec "Kolbeo des Cabanes" (cinq fautes), mais cela n'effaçait pas sa belle performance de la veille.
"J'ai un crack, j'y crois et il m'épate. Maîtriser de tels parcours, dans une arène aussi petite et "regardante" que celle-ci, à huit ans, c'est exceptionnel", Philippe Putallaz, le Valaisan de Versoix (GE), a beau être un peu Marseillais sur les bords, on ne peut que souscrire à ses propos. Au barrage du Prix Jaeger-Lecoultre, le jeudi soir, il n'avait fait qu'une petite faute, sur un gros oxer, se classant 11e. Rodrigo Pessoa et "Baloubet du Rouet", plus extra-terrestres que jamais, avaient gagné devant un autre néo-Ukrainien, Gregory Wathelet, habilement coaché par Philippe Guerdat.