St Moritz et le concours hippique, c’est une tradi

St Moritz et le concours hippique, c’est une tradition vieille d’un peu plu de 40 ans (la première édition date de 1958). La participation y est chaque année très hétéroclite et peu de concours peuvent se targuer d’un mariage aussi heureux entre professionnels, gloires locales et amateurs plus ou moins éclairés, chacun y trouvant sa place et… son compte (les épreuves sont plutôt généreusement dotées). Depuis quelques années pourtant, la manifestation grisonne n’est plus forcemment à la hauteur de sa réputation. Sol mal préparé, parcours «démodés», abords du terrain non aménagés, de quoi décourager le spectateur, mise en scène inexistante – même le traditionnel et typique garde-barrière faisant office de starter a disparu: pour beaucoup ce St Moritz ‘01 fut une petite «cuvée» comme le précisait François Vorpe, un habitué, qui n’aurait – jusqu’ici – manqué cette semaine à la montagne sous aucun prétexte. Si les Romands firent un temps nombreux le déplacement du concours engadinois (une sacrée expédition !), ce ne fut plus le cas ces dernières années. Et il n’y a guère que la famille Vorpe à lui être restée fidèle. Elle représentait d’ailleurs à elle seule la Romandie en janvier dernier. Maryline s’est classée une fois 3e, avant de partir pour Erlen/TG. François, son père, a pris un 3e rang avec Mercure du Châbles (un fils de Roy d’Artoire) et Fabien, son frère cadet, s’est classé deux fois en RIII/MI avec Lacor. L’épreuve principale, un RIII-MI à deux barrages, est revenue à Werner Muff et Paris Chic.

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