longines-equita-lyon-csi5-csi2-cdi-w-cai-w-csip-jpt-2023 : csi14-csi-5-w-longines-fei-jumping-world-cup-lyon : 35.0,BOND JAMESBOND DE HAY,WATHELET Gregory Grégory Wathelet et Bond James Bond de Hay, victorieux du GP Coupe du monde Longines de Lyon. Photo Equita Lyon.

Equita Lyon : appelez-moi Bond, James Wathelet Bond !

Avec son puissant étalon bai, Grégory Wathelet a remporté le Grand Prix Coupe du monde de Lyon, battant au chrono Julien Epaillard : faut l’fer (ou pas !) ! Martin Fuchs 10e avec Commissar Pezi, mais victorieux le matin.

On s’attendait à un nouveau succès de Julien Epaillard, victorieux de ce Grand Prix Coupe du monde Longines FEI l’an passé avec Caracole de la Roque, partie depuis sous d’autres cieux californiens, et très chanceux à l’initial et au barrage cette fois-ci avec Dubaï du Cèdre et le public lyonnais en salivait déjà.

Pourtant, Grégory Wathelet allait mettre tout le monde d’accord en misant sur la grande action de son puissant étalon SF de 12 ans Bond James Bond de Hay (par Diamant de Semilly et par Kannan). Pour 17 centièmes : chapeau bas ! Suivaient les deux élégants Britanniques Ben Maher, 3e avec Dallas Vegas Batilly, et Harry Charles, 4e avec Romeo

Triplé helvétique le matin

Martin Fuchs aurait pu s’intercaler au 4e rang sans une faute au barrage : le 10e rang avec Commissar Pezi et forcément un peu de déception. Tout comme pour Steve Guerdat, privé de dessert pour une touchette de Dynamix de Belhème sur un oxer. Le week-end avait été si beau jusque là ! Romain Duguet a fait deux barres avec Hunger Games du Champ du Bois et Edouard Schmitz a abandonné à la seconde faute d'un Gamin assez chaud pour son retour.

Pius Schwizer ne s’était pas qualifié pour ce GP, mais il a pris la 3e place de la 150 du matin avec Dubaï du Bois Pinchet, derrière deux coéquipiers, Martin Fuchs, 1er avec la 9 ans Bastille, et Edouard Schmitz, 2e avec la 8 ans Be Hippy TT

En attelage à 4, Boyd Exell a gagné sa quatrième épreuve Coupe du monde à Lyon – et consécutivement ! –, loin devant Ijsbrand Chardon (son fils Bram n’était pas là !). Jérôme Voutaz et ses FM 5es, devant les deux teams français.

Alban Poudret

 


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