Johan Nicolet © Privée Le cavalier de Satigny fait la paire avec son cheval Fendi, qui semble autant à l’aise sur les carrés de dressage que pour réaliser des numéros plus spectaculaires, accompagné parfois d’un poney. © Privée

Johan Nicolet : « Vivre de sa passion est la plus belle chose dont on puisse rêver. »

Johan Nicolet entre dans le monde professionnel du cheval par un enchaînement de hasards qui, rétrospectivement, dessinent un destin. « Un hasard », dit-il, lorsqu’il croise la route de son idole Fredy Knie Junior. Le hasard, toujours, quand il évoque ses premiers pas à cheval, vers dix ans. Encore ce même hasard lorsqu’il raconte comment il s’est retrouvé à orchestrer un numéro en liberté, cinq poneys dansant sous ses gestes. Le hasard, vraiment ? Ou simplement le fil invisible qui tisse le parcours d’un passionné, un brin rêveur, qui sait écouter ce que la vie lui souffle ? Aux rênes de son fidèle hongre de 11 ans Fendi, avec qui il a débuté en FB avant d’évoluer jusqu’en S, il prouve que si le hasard initie parfois les histoires, seule la détermination les inscrit dans le temps. La preuve ? Son objectif en 2025 : le Grand Prix.

  • Johan, en quelques mots, comment êtes-vous arrivé ici ?
  • J’ai commencé à l’âge de dix ou onze ans avec Mélody Johner et Philippe Kunz, à Monthey. J’ai eu la chance d’avoir une base vraiment solide. Ensuite, j’ai pu avoir un cheval en demi-pension chez Hervé Favre à Noville. J’étais assez jeune et on m’a mis entre les mains un super cheval pour débuter les concours. J’ai eu beaucoup de chance d’avoir des parents qui m’ont toujours suivi dans mes choix et m’ont fait confiance. Je leur dois beaucoup et ... 

Retrouvez l'intégralité de cette interview dans le n° de mai du Cavalier Romand

 


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