Ros Canter et Graffalo © Maxime David Ros Canter et Lordships Graffalo trustent les podiums notamment aux Européens du Haras du Pin où ils avaient décroché l'or individuel et par équipe. © Maxime David

La vie en Ros

Double championne du monde en 2018, double championne d’Europe en 2023 et en or par équipe aux Jeux olympiques de Paris : Rosalind « Ros » Canter a un palmarès en championnat long comme le bras grâce aux brillants hongres Allstar B et Lordships Graffalo. Et c’est sans parler de ses victoires lors des mythiques et exigeants 5* de Badminton et de Burghley, faisant de cette cavalière d’1m 58 l’une des grandes dames de sa discipline. Basée en pleine campagne, dans la ferme familiale du Lincolnshire, près de Burghley justement, celle qui tient à ses deux casquettes de cavalière et de maman accomplie apparaît à la fois comme une personnalité accessible, simple et sympathique. À l’aube d’une saison 2025 forcément marquée par le retour des Européens au pays du complet, à Blenheim, l’Anglaise de 39 ans, qui fut n° 1 mondiale cinq mois durant, nous a accordé une interview.

  • Ros, vous avez grandi entourée d’animaux, mais était-ce une évidence de devenir cavalière ?
  • Non, pas du tout. J’ai été très chanceuse de monter des poneys toute mon enfance avec mes sœurs Harriet et Megan. C’était pour le fun, nous faisions un peu de compétition. Je pense que j’ai toujours été la plus passionnée, j’étais motivée à continuer une fois adolescente, puis je suis allée à l’université, en sciences du sport, j’ai voyagé et j’ai beaucoup aimé. J’ai donc expérimenté tout ce qu’on pouvait faire dans la vie. J’avais un cheval que je devais vendre avant de pouvoir partir pour faire tout cela. J’ai fini par faire une leçon avec ...

Retrouvez l'intégralité de cette interview en p. 11 à 13 de votre magazine


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