Lara de Liedekerke-Meier, ici avec Hooney d’Arville, née chez elle et victorieuse du 5* de Luhmühlen. © Jacques Toi Lara de Liedekerke-Meier, ici avec Hooney d’Arville, née chez elle et victorieuse du 5* de Luhmühlen. © Jacques Toffi

Le conte de fée de Lara

Cela pourrait ressembler à un conte merveilleux, une histoire romanesque dans un domaine enchanteur, avec des chevaux, un château ourlé de vertes pâtures, si l’état d’esprit de Lara de Liedekerke-Meier n’était pas avant tout celui d’une cavalière familière, authentique, courageuse, comme celles que l’on rencontre outre-Manche ou ailleurs, et l’une des meilleures amazones de concours complet de notre époque, doublée d’une éleveuse et organisatrice. Plus Rebelle que Raiponce, un Disney moderne, girl power et progressiste somme toute !

Lara, comment avez-vous débuté le concours complet ?
C’était l’idée de mon grand-papa. On a acheté Quiana, qui était très bonne en dressage et sur le cross, mais avec laquelle je me faisais systé- matiquement éliminer en saut. Je pense que c’est à cause d’elle que j’ai encore quelques démons. Nougat, un autre poney, et Quiana étaient des petits achats dans le sens où mes parents n’ont jamais cru que j’irai aux Jeux olympiques. Tous deux étaient des poneys trouvés au coin de la rue. À 14 ans, ma maman s’est aperçue que j’étais mordue et ...

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