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Les dessous troublants des compléments en vente libre

Selon une étude réalisée en 2023 par Hippolia Lab, 81% des propriétaires en France donnent des compléments alimentaires à leurs chevaux, dont 46% quotidiennement. Une autre étude, réalisée en Suisse à plus petite échelle et publiée sur le site Bio-Actualités, montre que 61% des participants distribuaient des compléments. Mais que trouve-t-on réellement sur ce vaste marché, dont la vente en ligne donne accès à de nombreux produits, et quels en sont les risques pour les chevaux ? Il s’agit de choisir de façon éclairée.

« Aujourd’hui ce sont des algorithmes calculés par une intelligence artificielle qui peuvent choisir ce qui est bon pour notre cheval. Le propriétaire coche des symptômes en ligne, et on lui propose un assortiment de compléments triés. C’est grave », alerte le Fribourgeois Christophe Roggen, droguiste à la tête des drogueries éponymes. Cette dernière décennie, les plateformes de vente en ligne proposant des compléments alimentaires connaissent une croissance fulgurante. Nilay Pinto, de Valeyres-sous-Rances/VD, qui vend des compléments sur son site Equidream Natural, observe des tendances émergeant ...

Retouve l'intégralité de cette enquête dans le n° d'avril de votre magazine


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