Gian-Battista Lutta entouré de ses fils Noah, à gauche, et Thibaut, à droite, à Lossy. ©AP Gian-Battista Lutta entouré de ses fils Noah, à gauche, et Thibaut, à droite, à Lossy. ©AP

Rencontre avec Gian-Battista Lutta : beaucoup de cracks et deux fils prometteurs

Le mois dernier, nous sommes allés à la rencontre d’un homme plutôt secret et réservé, mais qui n’en est pas moins l’un des plus grands marchands de chevaux de Suisse et au-delà, Gian-Battista Lutta, Tista (prononcez « Tischta ») pour son entourage. Installé à Lossy/FR depuis bientôt trente ans, le Grison avait par la suite, en 2000, racheté à Romain Barras la partie du domaine où il a fait construire sa villa, ses écuries et de belles installations ainsi que les parcs avoisinants. Des lieux connus de tous les champions qui viennent faire leurs emplettes à deux pas de Belfaux, même si la meilleure vitrine, aujourd’hui, ce sont les concours et les tournées.

  • Le cheval, c’est venu comment Tista ?
  • Mon père a offert un cheval à une de mes (trois) sœurs, puis on a eu un poney et ça m’a plu. J’ai croché et Renata, la future femme de Thomas Fuchs, une copine du même village qui venait monter chez nous, est partie à Bietenholz, et, à 17 ans, je suis à mon tour allé chez les Fuchs, où je suis resté cinq ans. Je faisais un apprentissage de dessinateur en bâtiment à côté, et je montais beaucoup. Thomas m’entraînait et son père, Matthias …

Retrouvez l’intégralité de ce reportage dans le n° de mai de votre magazine


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