Andy Kistler : « Une finale, c’est 150% par rapport à une édition normale, donc ça fait 250% le même hiver ! »
Chef de l’équipe de Suisse de saut durant six ans et demi, d’avril 2015 à septembre 2020, Andy Kistler a depuis repris les rênes des Longines CHI Classics de Bâle. Après deux annulations dues au Covid, la cadence s’est accélérée, avec des éditions Coupe du monde accueillant en prime le dressage dès 2023, un -25 et de la voltige, en 2024. Et l’hiver prochain, la Halle St-Jacques accueillera en plus du CHI-W habituel, du 9 au 12 janvier, les finales Coupe du monde de saut, de dressage et de voltige, du 2 au 6 avril. Quinze ans que la Suisse n’avait plus accueilli un tel événement ! Cela nécessitera beaucoup d’engagement, mais n’entame en rien la légendaire joie de vivre du Schwytzois à la tête du grand concours indoor bâlois. Nous avons profité de refaire avec lui le long parcours qui l’a amené à ce poste-clé.
Andy Kistler, vous avez toujours vécu dans la même bourgade de Reichenburg, située entre le lac de Zurich et le Walensee, dans le canton de Schwytz, mais beaucoup voyagé dans le monde pour vos activités successives ?
Oui. Je suis né à Reichenburg et y vis toujours, mais je voyage depuis longtemps. D’abord pour l’entreprise Hakle, spécialisée dans le papier de toilette, puis pour le groupe Kimberly Clark, qui a repris Hakle en 1999. J’ai travaillé au total 32 ans pour eux, en Suisse, pour le nord de l’Europe, puis en dirigeant le marketing pour l’Europe, vivant les deux dernières années à Londres et ne rentrant que le week-end pour ...
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