Edwin Smits : « Les chevaux sont prêts et moi aussi »
Avec Farezzo, Edwin Smits forme un des couples les plus prometteurs du pays et, avec Best of Berlin comme alternative, il pourrait bien venir renforcer l’équipe de Suisse dans des Coupes des Nations 5* dès ce printemps. Le plus hollandais des Jurassiens est un habitué des plus prestigieux concours du monde, lui manque encore la joie de disputer un grand championnat. Tenace, bosseur et crocheur comme il est, avec Farezzo, il se dit qu’à 50 ans, c’est peut-être pour bientôt ...
- Edwin, vous rentrez d’une excellente tournée à Oliva, quel est votre sentiment sur les résultats de Farezzo (par Arezzo VDL et van Gogh), votre cheval de tête ?
- Je suis très content de Farezzo, il progresse de plus en plus, notamment en ce qui concerne la vitesse. Avant cela, il était encore un peu «soft» dans son galop. Je ne le sentais pas prêt à aller vite. Désormais, je peux l’engager dans une épreuve de vitesse et tenter davantage dans un barrage. Je pense que le championnat de Suisse (4e ndlr) a été le déclic. Je me suis dit « Wouah, là ça vient ».
- Malgré ses grandes qualités intrinsèques, vous avez dû prendre un peu votre temps avec lui, il était un peu tardif ?
- C’est vrai, il faisait jeune à 9 ans. Lorsque je l’ai acheté, à 8 ans, il n’avait fait que des épreuves à 130-135 cm. Les marchands aimaient bien sa force, mais ils soulignaient le manque de vitesse dans son mouvement. Nous avons donc (...)
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