Julien Epaillard : « Ça ne doit pas être un Grand Prix 5*, mais les Jeux ! »
Le classement mondial n’est pas souvent le reflet de la hiérarchie mondiale, mais, en l’occurrence, depuis un an au moins, c’est le cas et on s’en réjouit. Les cinq ou dix premiers des rankings méritent leurs places, même si certains privilégient les Coupes des Nations et les grandes classiques tandis que d’autres courent davantage le circuit du Global Tour, où la concurrence est souvent moindre, car partagée avec des détenteurs de places payantes. Nous avons donc proposé aux six meilleurs mondiaux (selon la rankings de juin) de nous parler de leurs espoirs olympiques et... de leurs concurrents les plus redoutables. Vous conviendrez que ce groupe-là a de l’allure et comprend de gros favoris, même si les candidats au titre sont sans doute une quinzaine. Le fait que la Suisse soit la seule nation à compter deux cavaliers parmi les meilleurs dit bien ses chances par équipe, non ?
- Julien, vos chances sont-elles plus grandes par équipe ou en individuel ?
- Franchement, c’est très aléatoire, il y a une manche, un barrage, il faut être prêt le jour J, à l’heure H, sur un parcours, tout est possible. C’est très ouvert avec ce nouveau format, tout est remis à zéro avant le dernier parcours. On doit donc tenter sa chance à fond. J’espère qu’on sera les deux en grande forme.
- Que pensez-vous de la formule à 3 par équipe ?
- Personnellement, j’adore ! C’est quitte ou double, si on tombe on perd, si une barre tombe, on perd, c’est ça ...
Retrouvez l'intégralité de cette interview dans notre dossier spécial JO de Paris dans le n° de juillet de votre magazine.