Kent Farrington : « Au début, j’avais des chevaux de course réformés »
Le Cavalier Romand était un des cinq médias convoqués à une Table ronde avec Kent Farrington le vendredi matin, au lendemain de sa belle victoire dans le Trophée de Genève. L’occasion d’échanger plus à fond avec l’as américain, témoignage Rolex, qui n’est pas passé loin d’un doublé ensuite dans le Grand Prix dominical ... Il s’en est fallu d’une barre sur le dernier obstacle du barrage !
- Kent, qu’est-ce que ça vous a fait d’être de retour au CHI de Genève ?
- C’est encore une période difficile dans le monde, mais c’est formidable pour notre sport et nos fans que nous puissions continuer et c’était fantastique d’être à Genève avec mes amis cavaliers, qui sont les meilleurs au monde. C’est toujours fun de rivaliser avec les meilleurs.
- Vous avez récemment dit que Creedance était naturellement rapide, mais on vous appelle vous « the Master of faster » (le Maître de la vitesse) ...
- Je pense que c’est une combinaison des deux. Je suis naturellement attiré par un type de chevaux plus légers. J’ai grandi en voulant être jockey, je faisais des courses de poneys, où la vitesse prime. À mes débuts, mes premières montures étaient des chevaux de course réformés, ceux qui n’étaient pas (…)
Retrouvez l’intégralité de cette interview dans le n° de février.