Élevage du Soufflet. © Lena Vuillamy Les produits de l'Élevage du Soufflet dans le canton de Neuchâtel. © Lena Vuillamy

Prime à l’éleveur : logique, non ?

Le saut d’obstacles, parmi les trois disciplines olympiques dont le développement a décuplé au cours des dix dernières années sous le contrôle de la Fédération Équestre Internationale (FEI), semble se porter au mieux. Le support, voire la concurrence que se livrent les marques Longines et Rolex, y sont probablement pour quelque chose. Les sommes distribuées annuellement sur les différentes compétitions internationales (du niveau 1 à 5*) avoisineraient les 150 millions d’euros.

Quoiqu’il en soit exactement, cet ordre de grandeur a de quoi interpeller les éleveurs. Pourquoi ne bénéficieraient-ils pas, eux aussi, d’une partie de cette manne ? Sans eux disent-ils... pas de chevaux adaptés le mieux possible à la pratique du sport ! Et de fait, décennie après décennie, l’évolution de la production qui dépend d’un travail de sélection de plus en plus pertinent des éleveurs et des stud-books qui les regroupent et qui développent parfois pour cela des ... 

Retrouvez l'intégralité de ce sujet, avec une interview de Dominique Mégret, président des propriétaires de chevaux de saut (JOC), dans le n° de mars de votre magazine


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