Tinka's Boy Tinka's Boy fait partie des stars stationnées à Béligneux. ©Privée Alban Poudret

Visite sur les sites de Béligneux Le Haras : le sport a évolué très vite, l'élevage aussi

Avec le printemps, nous avons repris le chemin de l’Ain. Et c’est sur l'impressionnante réussite de Béligneux Le Haras que nous nous arrêtons en premier. En deux temps, d’abord en rendant visite à Châtenay, le centre d’insémination et de transfert d’embryon, où l’on entreprend aussi des ponctions ovocytaires, avec le Dr méd. vét. Frédéric Neyrat, puis avec son fils Sébastien qui nous parlera le mois prochain de Servas, le repère des étalons, où des cracks. 

  • Frédéric Neyrat, comment a débuté l’aventure Béligneux le Haras ?
  • Tout a commencé en 1990, à Béligneux, à 30 km d’ici. J’y avais ma clinique et je me suis progressivement orienté vers la reproduction. Nous y avons loué une ferme, mais au fur et à mesure que notre exploitation s’est développée, nous manquions de place. Nous avons acheté une propriété à Servas où nous avons stationné les étalons. Puis, il y a 4 ans et demi, nous avons pu louer le domaine de Châtenay, pour y mettre les juments. Ce site fait 15 hectares, 350 juments y sont accueillies par année, avec un pic de 120 juments au mois de juin.

 

  • Parlez-nous de votre parcours...
  • J’ai commencé en Normandie chez le Dr Blanchard. Durant mon passage là-bas, j’ai eu l’occasion de gérer la première année de reproduction de ...

 

Vous pouvez lire l'intégralité de cet interview dans le numéro de mai de votre magazine. 

 


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