Edouard Schmitz : « Je vis mon rêve »
Depuis près de trois mois, Edouard Schmitz est de retour sur ses terres. Après sept ans à Wängi, chez les Fuchs, le Genevois a pris ses quartiers à deux pas de Vandœuvres, sa commune d’origine, dans son nouveau fief d’Anières, situé sur la rive gauche à la lisière de la frontière. Au sein de belles et fonctionnelles installations, à échelle humaine, surplombant le lac Léman, le cavalier de 25 ans endosse de nouvelles responsabilités et apparaît plus épanoui que jamais. Cela grâce aussi à la forme étincelante de ses cracks et à sa relève prometteuse. Sur la route du CHI de Genève – où il a brillé avec une 3e place le samedi soir et un classement dans le difficile GP – et, espérons-le, de la finale Coupe du monde de Bâle, nous avons pris des nouvelles du désormais olympique cavalier genevois.
- Edouard, vous voilà de retour chez vous, à Genève, qui plus est à la tête de votre propre écurie.
- C’est très excitant ! Je peux faire ma petite cuisine pour que tout soit comme j’ai envie. Il y a tout ce qu’il faut. Je suis en train de vivre mon rêve, avec un bon groupe de chevaux et une super équipe autour de moi.
- Être de retour en Suisse romande, après sept ans à Zurich, on imagine que cela vous fait plaisir.
- Même si je parle le suisse allemand ...
Retrouvez l'intégralité de cette interview en p. 30-31 du n° de décembre-janvier.