La Sud-Africaine Bronwyn Meredith Dos Santos, une mère de deux enfants et cavalière amateur, a fait des tours épatants avec sa merveilleuse Bibisi, née en Pologne. Une paire anachronique et unique qui a marqué cette finale ! © sportfotos-lafrentz.de La Sud-Africaine Bronwyn Meredith Dos Santos, une mère de deux enfants et cavalière amateur, a fait des tours épatants avec sa merveilleuse Bibisi, née en Pologne. Une paire anachronique et unique qui a marqué cette finale ! © sportfotos-lafrentz.de

L’universalité, entre bienfait et responsabilité

Un des grands moments d’émotion de cette 45e finale de saut aura été l’épatante complicité entre la Sud-Africaine Bronwyn Meredith Dos Santos et sa Bibisi. Le benjamin des 39 finalistes, l’Emirati Omar Abdul al Marzouqi (22 ans), ou le jeune Hongrois Vince Jarmy, 14e, en ont aussi bluffé plus d’un, mais d’autres n’avaient pas l’expérience nécessaire pour entreprendre un aussi long et périlleux voyage.

En créant ce circuit de la Coupe du monde en 1978, le Suisse Max E. Ammann (voir notre n° de février, en p. 52) poursuivait plusieurs buts, comme de professionnaliser le saut d’obstacles en le rendant viable l’hiver, ou encore l’universalisation, en imaginant des ligues sur chaque continent. En 1985, on comptait déjà 7 ligues, en Europe, en Amérique et en Océanie, et un total de 56 étapes, dix ans plus tard 10 ligues (le Japon, le Mexique et l’Europe centrale s’étant ajoutés) et 95 étapes. L’Amérique du Sud fut divisée par la suite en trois zones. On calma un peu le jeu à la suite du départ de Volvo, sponsor principal durant trente ans, mais ...

Retrouvez l'intégralité de cet article en p. 11 du n° de mai


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