Léa de Coulon ©Privée Léa de Coulon ©Privée

Léa de Coulon : la passion dans le sang

Bien classée lors du CSI -25 du Saut Hermès (2e et 5e du Grand Prix) et 3e du GP 2* de Malines, Léa de Coulon a connu la meilleure saison de sa jeune carrière en 2019. Après avoir fait ses armes sur les circuits nationaux poneys et children, la Neuchâteloise a pris, à 17 ans, le chemin de la Belgique. Rencontre.  

  • Léa, parle-nous de tes débuts ... 
  • Ma maman (Dominique, cavalière amateur, ndlr) a toujours monté. C’est grâce à elle et à mon grand-papa maternel Eddy Schöpfer – qui a toujours eu des chevaux et fait beaucoup d’élevage – que j’ai commencé l’équitation. Ma demi-sœur Sarah (cavalière nationale qui s’est illustrée jusqu’en Grand Prix, ndlr.) montait aussi. J’avais commencé à l’âge de 5 ans avec les poneys, à Corminboeuf. J’ai ensuite eu des poneys chez mon papa (Olivier, propriétaire des écuries de St-Blaise et mécène de Bryan Balsiger, ndlr) et chez mon grand-papa. J’ai toujours été très proche des chevaux : partir en vacances, c’était toute une histoire (rires) ! Les chevaux sont comme une drogue pour moi, cette passion a toujours été dans le sang. 
     
  • À l’âge de 17 ans, tu es partie t’établir en Belgique, chez Niels Bruynseels. Pourquoi ce choix? 
  • Je suis allée chez Niels afin de voir autre chose et pour évoluer auprès d’un grand cavalier. Ce fut une très bonne expérience, qui (...) 

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