Martin Fuchs et Leone Jei lors du Masters de Calgary-Spruce Meadows l'an dernier. © Rolex
Martin Fuchs : « J’aimerais des parcours très hauts, larges et difficiles, mais pas forcément trop techniques. »
Le classement mondial n’est pas souvent le reflet de la hiérarchie mondiale, mais, en l’occurrence, depuis un an au moins, c’est le cas et on s’en réjouit. Les cinq ou dix premiers des rankings méritent leurs places, même si certains privilégient les Coupes des Nations et les grandes classiques tandis que d’autres courent davantage le circuit du Global Tour, où la concurrence est souvent moindre, car partagée avec des détenteurs de places payantes. Nous avons donc proposé aux six meilleurs mondiaux (selon la rankings de juin) de nous parler de leurs espoirs olympiques et... de leurs concurrents les plus redoutables. Vous conviendrez que ce groupe-là a de l’allure et comprend de gros favoris, même si les candidats au titre sont sans doute une quinzaine. Le fait que la Suisse soit la seule nation à compter deux cavaliers parmi les meilleurs dit bien ses chances par équipe, non ?
- Martin, quel sera votre cheval aux JO et pourquoi ?
- Leone Jei, parce que c’est le meilleur !
- Votre cheval ou vos chevaux de réserve ?
- Commissar Pezi et Conner Jei, j’ai la chance d’avoir deux bons réservistes.
- Avec une seule manche depuis Tokyo 2021, cela va forcément se jouer au barrage. Cela conditionne-t-il votre choix ?
- Une manche, ça change beaucoup la donne et ça provoquera un barrage assez nombreux, fourni et très rapide. Cela dit, pour moi cela ne change pas mon choix, il est très clair, Leone Jei est très rapide et je ne pense pas que les autres cavaliers ...
Retrouvez l'intégralité de cette interview dans notre dossier spécial JO de Paris dans le n° de juillet de votre magazine.
