Peder Fredricson : « Je joue en famille et je me remets à la peinture »
Champion d’Europe en 2017, un an après avoir été vice-champion olympique à Rio avec All in, Peder Fredricson regrette forcément que les JO soient repoussés d’un an pour All in, qui a déjà 14 ans, mais le comprend évidemment. Habitant un endroit de rêve au sud du pays, le Sudéois vit bien cette période de pause forcée, entouré de son épouse, l’ex-internationale Lisen Bratt, de leurs trois fils et des chevaux.
- Peder, pour un cavalier habitant un endroit aussi ravissant, avec des chevaux partout, le confinement – tout relatif, en Suède – a aussi plein d’aspects positifs ?
- Oui, on n’est pas dans la course, on passe beaucoup de temps en famille. On monte à cheval surtout, mais on court aussi, on joue au padel, du tennis sur un court plus petit, entre nous et avec quelques amis (c’est autorisé en Suède, ndlr). On a aussi amélioré ou rafraîchi des installations, refait des sols. Il y a beaucoup d’aspects agréables, et on a le temps de réfléchir à l’avenir, à différents projets, à des nouvelles idées d’entraînement, à mille choses.
- Et vous vous êtes remis à dessiner, à peindre ?
- Oui, mais ça c’est beaucoup moins facile! J’ai arrêté trop longtemps de dessiner et j’ai du mal à retrouver un bon coup de crayon. J’aime ça, mais ….
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