Pius Schwizer©Joseph Carlucci decembre 2022 ©Joseph Carlucci

Pius Schwizer vit son âge d’or

Il a fêté ses 60 ans l’été dernier et savoure l’une des plus belles périodes de sa carrière. 3e des Grands Prix Coupe du monde de Bâle et de Leipzig en janvier, 2e de celui de Göteborg fin février, Pius Schwizer peut rêver de brandir la Coupe du monde, lui qui était déjà sur le podium en 2010 à Genève (2e ex æquo) et en 2012 à Bois-le-Duc (3e), à l’époque où, en selle sur Carlina, il était n°1 mondial. Le Lucernois s’est envolé pour Omaha avec un Vancouver de Lanlore en grande forme et plein de confiance. En témoigne leur 4e place dans la chasse cette nuit (lire news). Il a aussi le regard rivé sur les JO de Paris 2024 et des projets plein la tête, comme le rachat total de ses écuries d’Oensingen/SO. Il nous a longuement parlé à Bordeaux, puis au téléphone, avant son départ pour les États-Unis. Sa détermination est totale et son plaisir saute aux yeux. 

  • Pius, vous vivez une période exceptionelle. Vous attendiez-vous vous-même à un tel retour ? 
  • Oui, c’est la vie d’un cavalier, on n’est jamais assuré d’être en haut, il y a des hauts et des bas et on n’est rien sans un crack. Grâce à Vancouver, je suis de nouveau en haut. Grâce à la famille Vorpe, j’ai un cheval top top top, comme à l’époque avec Carlina et Caretina, peut-être aussi Noblesse, un cheval de championnat, avec tous les moyens. J’en ai eu trois ou quatre dans ma vie. 
     
  • Vancouver doit-il aussi faire la monte ? 
  • Non, pas cet hiver, il avait encore beaucoup de sperme en réserve, il a donc pu faire de vraies ... 

Retrouvez l'intégralité de cette interview dans le n° d'avril de votre magazine


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